Jardin Médiéval d'Uzès, Rue Port Royal, Uzès, France
A l'origine le projet Food waste avait pour vocation de sensibiliser le spectateur au problème du gaspillage alimentaire. Pour évoquer ce véritable gâchis alimentaire représentant rien qu'en France 10 millions de tonnes de produits par an, soit une valeur commerciale estimée à 16 milliards d’euros, Gaspard de Gouges a décidé de jeter cette nourriture à la mer, du moins en apparence. Ces fruits et légumes flottant à la surface de l'eau sont définitivement perdus pour les hommes. Les images intriguent, les légumes semblent surdimensionnés pour symboliser la quantité colossale des pertes, comme une allégorie du gaspillage.
Ces images nous frappent aussi parce qu'inconsciemment elles évoquent la montée des eaux, la dérive, le déluge, la fin du monde.
D'un point de vue formel, ces photographies prises en lumière naturelle sans aucun photomontage, nous séduisent par leur couleur, leur fraîcheur, leur naïveté qui nous ramène au jeu et à l'enfance. Ici la composition est maîtrisée comme dans un tableau où chaque objet est mis en scène pour que le naturel se mêle à l'artificiel, le vrai au faux. Comme le suggère le format, nous ne sommes pas devant un véritable paysage, nous sommes face à un objet hybride qui mélange les genres, le paysage et la nature morte, mais aussi les codes de la peinture et de la photographie.
Place du village, Commune de Cassaignes (11073)
En haut, la photo issue de la série Broken Bridges en vente au Florilège à Saint Jean de Paracol où seront représentés les 51 artistes dans un même lieu d'exposition
Je serai présent pendant 4 jours à Cassaignes, chez Marie, au RDc de sa maison donnant sur la place de ce minuscule village perché sur la colline en face Reine-le -château pour montrer entre autres ma série Broken Bridges.
Plusieurs centaines de tirages numérotés et signés sont à vendre entre 50 et 280 euros.
Horaires :
jeudi 09/05/2024 : de 10h à 21h
vendredi 10/05/2024 : de 10h à 18h
samedi 11/05/2024 : de 10h à 18h
dimanche 12/05/2024 : de 10h à 17h30
Rotterdam Photo, Willemsplein 85, 3016 DR Rotterdam, Pays-Bas
Sur la colonne Morris ci dessus on voit qu'une de mes photos a été sélectionnée pour la promotion de l'événement.Environ 1500 visiteurs en 3 jours, à gauche les photos de Claude Corbier
https://www.rotterdamphoto.eu/
Méditerranée imaginaire 43 de la série Méditerranée imaginaire
Imagine – un mot qui évoque l’imagination, la créativité et les possibilités illimitées. L’édition 2024 de Rotterdam Photo se concentre sur le thème « Imagine » et invite les photographes et les artistes à remettre en question et à transformer la perception de notre monde grâce à leur imagination.
Ce thème soulève les questions suivantes : Comment notre imagination influence-t-elle notre réalité ? Quelles sont les possibilités qui s’offrent à nous lorsque nous nous ouvrons à de nouvelles idées ? Quel est le rôle de la photographie dans notre compréhension du monde qui nous entoure ?
Dans la société complexe d’aujourd’hui, nous avons plus que jamais besoin de l’imagination. Elle peut servir d’outil d’espoir et de positivité. Qu’il s’agisse de créer des solutions innovantes ou de stimuler le dialogue sur des questions culturelles et sociales. Ce sont les expressions créatives qui agissent souvent comme un catalyseur de changement. Dans les moments d’incertitude, d’agitation et de chaos, l’art nous rappelle la résilience de l’esprit humain et la capacité de transformer la situation actuelle.
Alors que nous nous frayons un chemin dans la dynamique complexe du monde d’aujourd’hui, Rotterdam Photo offre une plateforme où l’imagination, l’innovation et la pensée critique se rencontrent. L’édition de cette année offre une occasion unique de plonger dans le monde illimité de l’imagination. Le festival promet d’être une expérience absolument inoubliable pour les passionnés de photographie et tous ceux qui sont à la recherche de nouvelles perspectives.
Le thème « Imagine » met les photographes au défi d’aller au-delà de la réalité et de laisser libre cours à leur imagination, au-delà des frontières et des limites connues. Plusieurs photographes modernes ont déjà adopté ce concept. Ils explorent des angles divers tels que le surréalisme, la photographie de portrait et de paysage, et la romantisation du quotidien.
À propos de Rotterdam Photo
Rotterdam Photo est une foire photographique annuelle aux allures de festival. L’événement célèbre le spectre de la photographie contemporaine dans toute sa diversité.
S’inscrivant dans le cadre de la Semaine artistique de Rotterdam, l’événement attire environ 10 000 visiteurs, parmi lesquels des amateurs d’art, des collectionneurs, des galeristes et des professionnels de la presse artistique internationale venus des quatre coins du monde.
Nous transformerons un site de la Willemsplein, au centre de Rotterdam, en un village de la photographie et une plaque tournante pour les amateurs de photographie, peuplé de plus de 60 conteneurs d’expédition réaffectés en espaces d’exposition.
En plus des expositions, Rotterdam Photo organise des conférences, des ateliers et un programme parallèle avec de la musique et des installations numériques dans toute la ville. Le sentiment de festival est créé grâce aux diverses expositions et activités de loisirs proposées à tous les participants. Des vendeurs ambulants, des cafés et des restaurants situés sur le site du festival proposent de la bonne nourriture et de délicieuses boissons. Le public et les participants peuvent profiter de l’atmosphère de l’événement, en célébrant la photographie avec nous.
Galerie Jules Salles, 13 Bd Amiral Courbet, 30000 Nîmes / 10H-18H
Une dizaine d'artistes, dont Claude Corbier et moi même, seront représentés à la galerie Jules salles, où l'on pourra voir de 10h à 18h des sculptures, des peintures, et bien sûr des photos.
A cette occasion j'ai présenté la série Broken Bridges
La fontaine Obscure, Espace Photographique Galerie, 24 Av. Henri Poncet, 13090 Aix-en-Provence
Horaires :
lundi Fermé
mardi 14:00–18:00
mercredi 14:00–18:00
jeudi 14:00–18:00
vendredi 14:00–18:00
samedi 10:00–12:00
Gazette café, 6 Rue Levat, 34000 Montpellier
Une dizaine de photographies de la série Food waste, une hybridation entre nature morte et paysage, qui évoque aussi bien la montée des eaux, le gaspillage alimentaire et les OGM est exposée sur les cimaises du Gazette café pour un mois.
Organic island 1
40x40cm
La Galerie La Rue, Rdc complexe G.Philipe Rue Charles Sandro 83130 La Garde
Village de Fanjeaux dans l'Aude, maison Gramont
Le finissage en présence de l'artiste et le décrochage auront lieu dimanche 17 septembre 2023
Bégoux et Cahors
http://clic-images.com/2022/12/fest-images-territoire-du-monde-2023.html
Les 8 photos de chaque série seront publiées sur bâche et affichées dans le quartier de Bégoux et sur les grilles du collège Gambetta en centre ville de Cahors.La série proposée par Gaspard de Gouges s'appelle Food waste, elle comporte une trentaine de photos évoquant le colossal gaspillage alimentaire.
Aubenas ou Ailhon (à préciser)
Médiathèque Lucien Jacques, Avenue du Verdon, Gréoux-les-Bains, France
Le Rotary club de Gréoux-les-bains, station thermale très populaire, a organisé un concours international sur 4 thèmes dont un thème libre. Gaspard de Gouges a obtenu le deuxième prix pour cette dernier thème. Le travail de l'artiste issu de la série Food waste a été montré avec celui des tous les lauréats à la Médiathèque Lucien Jacques, Avenue du Verdon, Gréoux-les-Bains, France pendant deux semaines. Ensuite l'exposition a été installée sur le site de l'International Thermonuclear Experimental Reactor (ITER) pour tout le mois de juillet et août. Le site est situé route de Vinon de Verdon, 13115 à Saint-Paul-lez-Durance.
President of the Rotary Club Greoux-les-Bains – Val de Durance Rotaryclub.
Greoux@gmail.com Gaspard de Gouges By email Date: 30 mai 2023
Concours Photo 2023
"Cher Gaspard, Au nom du Rotary Club Gréoux-les-Bains Val de Durance, du Festival international de photographie Chambre07 et du Jury, je tiens à vous remercier pour votre participation à notre concours photo et à vous certifier que vous avez obtenu le 2ème Prix Thème Libre Nous espérons vous voir lors de l'inauguration de l'exposition pour vous féliciter de vive voix (coordonnées au verso).
Avec mes salutations les plus cordiales, Hubert Barré President 2022-202"
Maison Gramont, Pl. des Halles, 11270 Fanjeaux (à côté de l'église). Tous les jours de 15h à 19H.
en ligne, section photo, juin-juillet 2023
https://lartvues.com/expos-2/
Le comptoir des géants, 497 Rue De La Fonderie D'or, 38930 Saint-Maurice-en-Trieves France
Une vue de l'exposition des photos au format 30x30cm
Le vent se lève : 51 galerie et atelier photo, Quai de Bosc, Sète, France (06 07 21 16 77)
Une trentaine de photos au mur exposée au vent se lève
Les photos présentées ici sont prises en utilisant ce que la mer rejette sur la plage : textile, bois, ferraille, plastique.
Ce projet photographique a une double vocation politique et esthétique.
Politique d'abord afin de sensibiliser le spectateur sur le problème des migrants à travers la méditerranée. Les flux migratoires apaisés tels qu'on a pu les connaître durant les trente glorieuses se sont transformés en impasse qui ont contraint des milliers de personnes à traverser la méditerranée au péril de leur vie, changeant Mare Nostrum en cimetière marin. Alors que le nombre de migrants traversant la méditerranée s'amenuise depuis 2015, le nombre de décès en mer augmente. Pour la seule année 2021, quelque 3.200 personnes ont été enregistrées comme mortes ou disparues en mer en Méditerranée. Il s’agit d’une augmentation de près 40% par rapport à 2020 d'après le HCR.
Ces morts sans sépultures qui hantent les vivants font écho aux ponts brisés mis en scène par Gaspard de Gouges. Pont metalliques, ponts de pierre, ponts de bois, toutes ces ruines symbolisent la mort et la rupture de liens qui furent jadis féconds entre les deux rives. Quand un pont est rompu il perd sa fonction, tout comme cette mer qui ne relie plus. La ruine interroge sur la cause de son abandon et fait écho au sentiment de déréliction qu'éprouve le migrant avant de prendre la mer et en mer.
Le projet se veut également esthétique. Il s'agit de faire des images qui choquent, qui interrogent, qui déroutent. Le réel est souvent absurde et sans beauté. L'art lui donne un sens. L'art donne la beauté au réel qui en est privé, le reconstruit au sens propre du terme, par la mise en scène pour l'auréoler si possible de son éternité. Cette quête iconique contre la lâcheté, la facilité, la compromission, l'indifférence est en train de se faire. Les mise en scènes de ces paysages marins se poursuivent avec des matériaux, des constructions, des lumières différentes.
Pôle culturel et scientifique de Rochebelle, 155 Rue du Faubourg de Rochebelle, 30100 Alès
Pendant deux jours j'expose mon projet Food waste à Rochebelle. Comme je garde le lieu , je travaillerai à mes maquettes en attendant les visiteurs. Le vernissage est à 17h30 le samedi.
J'expose une partie de ma série Retour à Ithaque
Mais aussi une partie du projet Foodwaste a pour vocation de sensibiliser le spectateur au problème du gaspillage alimentaire. Selon le Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, rien qu'eCe gaspillage représente un prélèvement inutile et la destruction de ressources naturelles, telles que les terres cultivables et l’eau, et des émissions de gaz à effet de serre qui pourraient être évitées.
Pour évoquer ce véritable gâchis, j'ai décidé de jeter littéralement cette nourriture à la mer. Ces légumes flottant à la surface de l'eau sont définitivement perdus pour les hommes. Les images intriguent, les légumes semblent surdimensionnés et tombés du ciel, à moins qu'ils soient arrachés au rivage par les courants marins. Ces légumes à la taille
Ces images nous frappent aussi parce qu'inconsciemment elles évoquent la montée des eaux, la dérive, le déluge, la fin du monde.
D'un point de vue formel, ces photographies prises en lumière naturelle sans aucun photomontage, nous séduisent par leur couleur, leur fraîcheur, leur naïveté qui nous ramène au jeu et à l'enfance. Ici la composition est maîtrisée comme dans un tableau où chaque objet est mis en scène pour que le naturel se mêle à l'artificiel, le vrai au faux. Comme le suggère le format, nous ne sommes pas devant un véritable paysage, ni devant une véritable nature morte, nous sommes face à un objet hybride qui mélange les genres, les codes de la peinture et de la photographie.
es jeux d’échelle sont créés pour mieux reconstituer des paysages illusionnistes, des hétérotopies, comme les appelle Michel Foucault, afin de désigner des espaces concrets qui hébergent l’imaginaire et prennent des formes insulaires. Le concept même de l’île renvoie à la quête d’un monde idéal, préservé, d’un ailleurs en perpétuelle invention, réceptacle de fantasmes et d’évasion, en opposition au réel ambiant anxiogène.
Ainsi ces images sont paradoxales, elles mêlent prise de conscience des désespérants enjeux actuels et fuite pour profiter de la beauté d'un monde voué à disparaître.
Mairie, Rue du Pressoir, 11190 Luc-sur-Aude, France
J'ai eu l'honneur d'être sélectionné pour exposer mon travail Food waste sur le gaspillage alimentaire à la cantine scolaire de la mairie de Luc-sur-Aude. Pendant 4 jours j'ai rencontré le public, plus de 900 presonnes a qui j'ai expliqué ma démarche tout en travaillant à mes maquettes. J'ai été logé chez l'habitant (top) sur place et le samedi j'ai été présent jusqu'à 21h pour recevoir le public.
Chez Mialet, Avenue Jacques Bernard, 30140 Mialet, France
Des tirages de la série Retour à Ithaque seront exposés sur les murs du lieu associatif multiservices Chez Mialet, ouvert de 10h30 à 12H du mardi au samedi (ouvert jusqu'à 15h le samedi)
J'ai voulu offrir au spectateur un moment de détente, de vacances ensoleillées en bord de mer, peuplées d'îles désertes, sans âmes qui vivent, sans vents, sans vagues, sans bruits, un endroit improbable, impossible et pourtant...il y a un bateau, le vôtre peut-être. C'est un retour en paix au pays après le combat de la vie urbaine et technologique. Je vous invite à faire une pause, à déambuler dans des paysages littoraux qui évoquent des sensations, des visions voisines d’un état psychédélique, comme l'écrivait Baudelaire dans son poème L'invitation au voyage :
« Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté. »
Ce travail propose de redéfinir le paysage littoral, non comme un objet esthétique, non plus comme une zone environnementale, mais comme une relation affective, performative et éthique au monde.
Artiste-artisan, j'ai procédé à l’ancienne en fabriquant ces images une à une au sens littéral du terme, brouillant les pistes pour mieux vous entraîner dans une nouvelle épopée dans laquelle vous serez le héros. Mon protocole de création photographique s’inscrit dans les pas d’illustres prédécesseurs tels que Georges MELIES. Ici pas de logiciel de montage ni d’effets spéciaux numériques mais des bricolages photographiques à partir de maquettes construites minutieusement sur un coin de table de mon atelier. Le « bleu du ciel » est quant à lui le reflet de la météo qu’il faisait le jour de la prise de vue restitué tel quel par un effet de miroir disposé derrière les maquettes.
L’usage du miroir dans le procédé de création n’est pas anodin. Son reflet évoque la nature éphémère de l’existence humaine et du monde « d’ici-bas ». Il est un effet de réel dans les paradis artificiels que je fabrique de toutes pièces. Des paradis artificiels qui nous proposent un univers vivifiant de doute et d’incertitude pour lutter contre l’inéluctabilité des choses dans un monde où domine l’artefact numérique. Je bricole un appareillage « magique » qui fait dialoguer une scénographie miniature avec un bout de ciel bleu « pris sur le vif ».
Je vous invite à prendre le temps de poser votre regard sur ces montages photographiques et laisser libre cours à votre pensée.
Tiers lieu le 21 - Coworking - Uzès, 21 Place aux Herbes, Uzès, France
Tiers-lieu le 21, 21 place aux herbes à Uzès 30700
Le projet Foodwaste a pour vocation de sensibiliser le spectateur au problème du gaspillage alimentaire. Pour évoquer ce véritable gâchis alimentaire représentant rien qu'en France 10 millions de tonnes de produits par an, soit une valeur commerciale estimée à 16 milliards d’euros, Gaspard de Gouges a décidé de jeter cette nourriture à la mer, du moins en apparence.
Ces fruits et légumes flottant à la surface de l'eau sont définitivement perdus pour les hommes. Les images intriguent, les légumes semblent surdimensionnés et tombés du ciel, à moins qu'ils soient arrachés au rivage par les courants marins. Ces légumes à la taille monstrueuse évoquant la manipulation génétique, symbolisent la quantité colossale des pertes, comme une allégorie du gaspillage. Ces images nous frappent aussi parce qu'inconsciemment elles évoquent la montée des eaux, la dérive, le déluge, la fin du monde. D'un point de vue formel, ces photographies prises en lumière naturelle sans aucun photomontage, nous séduisent par leur couleur, leur fraîcheur, leur naïveté qui nous ramène au jeu et à l'enfance. Ici la composition est maîtrisée comme dans un tableau où chaque objet est mis en scène pour que le naturel se mêle à l'artificiel, le vrai au faux. Comme le suggère le format, nous ne sommes pas devant un véritable paysage, ni devant une véritable nature morte, nous sommes face à un objet hybride qui mélange les genres, les codes de la peinture et de la photographie.
Encadrant ces nourritures terrestres, émergent des îles déconnectées du monde, à la fois réelles et fictionnelles où vient se nicher une invitation à la rêverie et à l’introspection. Des jeux d’échelle sont créés pour mieux reconstituer des paysages illusionnistes, des hétérotopies, comme les appelle Michel Foucault, afin de désigner des espaces concrets qui hébergent l’imaginaire et prennent des formes insulaires. Le concept même de l’île renvoie à la quête d’un monde idéal, préservé, d’un ailleurs en perpétuelle invention, réceptacle de fantasmes et d’évasion, en opposition au réel ambiant anxiogène.
Ainsi ces images sont paradoxales, elles mêlent prise de conscience des désespérants enjeux actuels et fuite pour profiter de la beauté d'un monde voué à disparaître.
Mairie du 8ème arrondissement, Rue de Lisbonne, Paris, France